« Une vie d’emprunt est le premier roman tout à fait marquant d’un jeune écrivain merveilleusement doué. En retraçant les aventures d'un homme, une sorte de « conservateur des souffrances » qui rédige de fausses lettres de réclamations de victimes de l’Holocauste pour son grand-père et ses voisins immigrés russes dans le sud de Brooklyn, Boris Fishman livre un très beau roman sur la conscience et la loyauté familiale : nuancé, tendre, et souvent très drôle, ce texte restera longtemps gravé dans les mémoires. »
« En profonde empathie avec ses personnages, ce roman plein de cœur et de cran nous rappelle douloureusement que le passé n'est jamais vraiment révolu. Boris Fishman est un écrivain magnifique, et Une vie d’emprunt mérite un grand succès. »
« Reste-t-il une place dans le paysage littéraire pour un nouveau jeune et brillant écrivain émigré ? Mieux vaudrait, car en voici un. Le premier roman de Boris Fishman, Une vie d’emprunt, est audacieux, ambitieux, et formidablement intelligent. »
Patricia T. O’Conner. The New York Times (États-Unis).
« Le premier roman de Boris Fishman évoque avec une grande finesse, une réelle humanité et une indéniable drôlerie, les questions de l’identité, de la mémoire et du mensonge. »
Marie Michaud, Librairie Gibert Joseph (Poitiers). Page des Libraires.
« […] Boris Fishman a de nombreux points communs avec le héros de ce premier roman aussi gonflé que réussi, aussi drôle que touchant. Il a le talent de construire des personnages qui donnent une vitalité et une subtilité irrésistibles à ce livre sur le rapport, qui n'est pas toujours d'adéquation, entre la vérité et l'exactitude factuelle, sur l'héritage et la transmission, et sur la possibilité de choisir son destin sans être contraint de s'oublier en chemin. »
Raphaëlle Leyris. Le Monde des Livres.