« Une fille est une chose à demi affirme Eimear McBride comme une nouvelle voix de la littérature anglo-saxonne. […] Un livre dont on se relève, comme la narratrice hésitant entre baptême et noyade, à bout de souffle, et de mots. »
Ariane Singer. Transfuge.
« Un tour de force stylistique hors du commun. »
Books.
« Saisissant, dérangeant parfois, en tout cas hors normes […] »
Véronique Rossignol. Livres Hebdo.
« Pour un premier livre, c'est un tour de force. »
Victorine de Oliveira. La Vie.
« Un flot en saccades où les mots jouent des coudes, un fluide de conscience qui dit fuck à la grammaire. […] On est perdu, agacé, ébloui par un échantillon coincé dans un paragraphe, dévasté, épuisé. On livre bataille, parfois contre soi, embedded avec la fille de l’enfance à la vingtaine, son frère malade, sa mère bigote, son oncle prédateur, ses cuites et ses plans cul. »
Thomas Stélandre. Libération.
« Si Eimear McBride ne cache pas son admiration pour James Joyce et ses expérimentations narratives, on pense aussi à Virginia Woolf dans sa manière de sonder l’âme féminine et de tenter, coûte que coûte, d’exprimer par les mots ses angoisses les plus intimes. Dire de ce texte qu’il est bouleversant serait un euphémisme. Une fille est une chose à demi est un livre d’une force inouïe. »
Charlène Busalli, Librairie du Tramway (Lyon). Page des Libraires.