Notre monde mort

Notre monde mort

Liliana Colanzi

Traduit de l’espagnol (Bolivie) par Juliette Barbara

Un chauffeur de taxi bolivien que les visions d’une passagère indienne hantent jour et nuit, un groupe d’enfants fascinés par la mort de leur petit camarade, une femme en mission sur Mars à qui apparaissent des fantômes d’animaux, ou encore une étudiante que la bigoterie maternelle entraîne dans la folie…

Recueil de contes...

Édition papier

Date de parution : 03/05/2018

Prix : 13 €

Format : 20.5 x 14 cm, 128p.

ISBN : 978-2-283-03029-5

Édition numérique

Acheter ce livre au format numérique

Date de parution : 03/05/2018

Prix : 9,49 €

ISBN : 978-2-283-03200-8

    « Liliana Colanzi déploie une prose obsessive, d’une belle étrangeté, peuplée de personnages qui se débattent entre tradition et modernité. »


    Que Tal Paris?



     


    « Comme la Mexicaine Guadalupe Nettel et l‘Argentine Samanta Schweblin, Liliana Colanzi affirme une voix singulière dans ces histoires où les légendes amazoniennes fécondent une imagination sans limites. »


    Ariane Singer. Le Monde des Livres.

Traduit de l’espagnol (Bolivie) par Juliette Barbara

Un chauffeur de taxi bolivien que les visions d’une passagère indienne hantent jour et nuit, un groupe d’enfants fascinés par la mort de leur petit camarade, une femme en mission sur Mars à qui apparaissent des fantômes d’animaux, ou encore une étudiante que la bigoterie maternelle entraîne dans la folie…

Recueil de contes modernes à l’étrangeté inquiétante, Notre monde mort est habité d’une tension palpable à chaque page. Le lecteur y pénètre en témoin et en ressort complice tant cette jeune auteure sait révéler les brèches qui ponctuent la réalité placide de notre quotidien.

C’est une voix forte, dérangeante, qui anime chacune de ces huit nouvelles. On y retrouve des obsessions chères à la littérature latino-américaine : le tiraillement entre modernité et tradition, l’interpénétration des cultures occidentales et indigènes, l’obsession de la mort et d’une nature animée.