« Le roman, avec son écriture en cavalcade et ses dialogues qui font mouche, est vraiment drôle […] au-delà des péripéties haletantes et drôles d'une aventure extraconjugale, L’Uruguayenne surprend par la pertinence de ses interrogations sur le thème, ô combien galvaudé, de la vie d'un couple de quadragénaires devenus « siamois » par la force des habitudes. »
Ariane Singer. Le Monde des Livres.
« Voilà un livre aussi bref que bon. Très bon, même. Excellent, en fait. […] Un talent qui doit beaucoup à son sens de l'humour, son franc-parler et un style coruscant - formidablement traduit. »
Delphine Peras. L’Express.
« Un livre enlevé, à l’oralité aussi crédible que maîtrisée (on saluera le travail de la traductrice Delphine Valentin). »
Guillaume Contré. Le Matricule des anges.
« Avec L’Uruguayenne Pedro Mairal sonde maux intimes et maux de l’Argentine. L’argent, l’amour et l’écriture »
Damien Aubel. Transfuge.
« Un roman d'une drôlerie douce-amère […] Une tragi-comédie où l'on peut à la fois éprouver « une tristesse d'amour tout frais » et la mélancolie de l'amour usé. »
Véronique Rossignol. Livres Hebdo.
« Humour, sexe, trahison, drogue, argent, football : ce roman court et intense a tout pour plaire. »
Kinga Wyrzykowska. Vraiment.
« Quoi de plus compliqué qu’aimer ? »
Virginie Bloch-Lainé. Libération.
« Ce bref roman à la narration tendue, hyperréaliste, tape avec efficacité sur les nerfs du lecteur. […] il nous entraîne avec un art parfait dans un thriller existentiel, ponctué d’une parfaite description de l’inconséquence masculine. »
Florence Reyre, Librairie Gibert (Saint-Germain-en-Laye). Page des Libraires.