Prisonnier d'une société qu'il méprise, un homme décide de partir à la rencontre de son animalité profonde. Perdu en plein bois, vivant de ses chasses avec, pour seule compagnie, son chien Lione, le narrateur va se détacher de toute notion de réalité et vivre de ses rêves. Une errance onirique qui lentement bascule...
La Fuite, premier roman de Paul Moracchini, est une invitation en terre inconnue. L'échappée exaltée d'un homme vers la nature.
« L’écriture est ciselée. Belle, poétique même. Le sauvage du roman, pourtant enfoui au plus profond du monde par choix, s’évade dans des rêves qui, parfois, virent au cauchemar. »
Pierre Barbancey. L’Humanité.
« D'une profonde mélancolie, La Fuite est une chasse à l'homme où l'on ne sait pas qui est le tueur et qui est la proie, un chant d'amour à la nature, qui peut être un refuge ou vous conduire à la perte. »
Christine Ferniot. Lire.
« Un premier roman singulier qui, par la force des mots, tend l'esprit du protagoniste (mais aussi le nôtre) jusqu'à l'extrême des possibilités humaines. C'est beau, sombre et tragique. »
Anne-Marie Mitchell. La Marseillaise.
« Ce premier roman au style poétique et au rythme saccadé invite précisément à suivre une fuite irréversible, bien plus qu’une échappée d’un homme vers la nature. Une intrigante évasion, incarnée et revendiquée, somme toute assez glaçante. »
Emmanuelle George, Librairie Gwalarn (Lannion). Page des Libraires.
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