« Diego Trelles Paz prend définitivement place parmi les grands noms de la littérature sud-américaine contemporaine. Une vertigineuse descente aux enfers. »
Damien Aubel. Transfuge.
« Un superbe ouvrage avec lequel Diego Trelles Paz s’impose comme l'un des meilleurs auteurs péruviens de la nouvelle génération. »
Que Tal Paris?
« Axant son ouvrage sur le thème de l’amitié autant que sur l’impossibilité de faire le deuil des disparus, le romancier réussit une fiction à plusieurs voix, marquée notamment par la désillusion et les déboires amoureux. »
Marc Olivier Parlatand. Le Courrier suisse.
« Ceci est un grand livre. Un roman presque parfait de par sa construction et sa capacité à faire cohabiter la chronique historique et la rêverie littéraire. »
El País
« Ce n’est pas une confession que l’on trouve dans le livre de Trelles Paz. C’est la mémoire, et plus encore, de la mémoire meurtrie. La Procession infinie retrace la façon dont la dictature fujimoriste demeure vivace, non seulement dans la société, mais aussi à un niveau individuel, tel un parasite à fleur de peau (et de conscience). »
La Republica
« La douloureuse empreinte de la dictature qui a marquée toute une société se manifeste ici à travers de multiples drames individuels. Ce que nous lisons alors est un peu plus qu’un simple roman. »
La Vanguardia
« D’une manière ou d’une autre, cette histoire d’aujourd’hui, cette histoire de toujours, parle à chacun d’entre nous. »
El Imparcial