« Jean-Philippe Blondel campe un petit théâtre social dont chaque personnage sublime sa caricature. Prenant une hauteur de vue comparable à son jeune héros, Philippe Goubert, qui ouvre le roman au moment où il risque de chuter d’une corniche, le romancier défie le temps comme le garçonnet le vertige pour raviver les couleurs passées du monde d’hier. »
Philippe-Jean Catinchi, Le Monde des Livres
« Blondel sait si bien dire la tristesse d’un enfant, la folie d’une femme à bout, l’ennui qui rend nuisible, ces rêves d’une autre vie. Avec beaucoup de subtilité, l’auteur nous fait regretter cet hier où l’on espérait encore quelque chose, tout, n’importe quoi, pourvu que le monde bouge. »
Laurence Caracalla, Le Figaro magazine
« La Grande Escapade n’est pas un roman social, même s’il ne parle que de la société d’alors, prise en étau entre les réflexes anciens et ceux qu’il faudra acquérir. Ni non plus un roman psychologique, même s’il ne parle que des ressacs du cœur face à un changement. C’est un peu des deux, bien sûr, mais d’abord un exercice de dentelle littéraire, fin, précis, fragile. »
Clara Dupont-Monod, Marianne
« Le très beau roman de Jean-Philippe Blondel est une plongée dans le monde matérialiste et étouffant des années soixante-dix. »
Francine de Martinoir, La Croix
« On pense au Petit Nicolas, il y a beaucoup de malice et de charme dans ce délicieux roman. »
Isabelle Bourgeois, Avantages
« La Grande Escapade redonne vie à une époque pas si éloignée […] le style fluide, direct et prenant de Jean-Philippe Blondel confère un air de comédie à ce petit monde dont les ont les acquis vacillent. »
Marc-Olivier Parlatano, Le Courrier suisse
« Une comédie sociale pleine de nostalgie et de personnages hauts en couleur. »
Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo
« Le Blondel nouveau est arrivé, et nous l’aimons d’une tendresse immense. »
David Medioni, Ernest
« Jean-Philippe Blondel explore avec beaucoup d’humour et de délicatesse les changements d’un monde en pleine mutation, dans un roman social profondément humain, aux accents mélancoliques et pourtant tellement vivants. »
Maria Ferragu, Librairie Le Passeur de l’Isle (L’Isle-sur-la-Sorgue), Page des Libraires