« Dès les premières lignes, le récit de l'ancienne guitariste et parolière des Slits (les « fentes ») claque avec une rugosité électrique. […] un livre mordant et attachant […] un style enlevé, concis, parfois candide, souvent drôle […] Une honnêteté souvent bouleversante. »
Stéphane Davet. Le Monde.
« Viv Albertine n'a jamais été une star, mais son livre passionnant, sincère, cru et intelligent permet de partager le parcours entier, investi et cabossé d'une authentique punkette qui a gardé toute sa tête. »
Télérama.
« De fringues, de musique et de mecs n’est pas un livre sur le punk, c'est un livre punk sincère, drôle, avide. En courts chapitres bourrés d’anecdotes, Viv Albertine fait vibrer l’époque. »
Marguerite Baux. Grazia.
« Un ouvrage qui mérite de figurer aux côtés de Just Kids de Patti Smith, Girl In A Band de Kim Gordon ou Hunger Makes Me A Modern Girl de Carrie Brownstein. »
Isabelle Chelley. Rock&Folk.
« Une lecture particulièrement rafraîchissante et cool. […] Sans amertume, sans vacheries ni regrets, ce tableau très fidèle d'un temps de bouleversements rend justice à ces petits Anglais fauchés qui ont révolutionné la musique et les mœurs et ressuscite parfaitement une bande et une époque— la dernière ? — candide et finalement très innocente. »
Agnès Léglise. Rock&Folk.
« C’est un témoignage comme on en a rarement lu, peut-être même jamais. Viv Albertine raconte avec autant de talent que de franchise sa lutte acharnée et souvent désespérée pour exister en tant que musicienne. »
Michka Assayas. France Inter, Very Good Trip.
« Entre aventure individuelle et épopée collective, I’autobiographie de Viv Albertine est une réussite complète et inattendue. »
Jean-Luc Manet. Les Inrockuptibles.
« La musicienne anglaise Viv Albertine signe ici l'équivalent punk du Just Kids de Patty Smith. […] la traduction d'Anatole Muchnik est limpide, comme si Sid Vicious était dans la pièce, qu'il sentait mauvais et que Viv Albertine nous prenait dans ses bras... »
Loïc Prigent. Les Échos week-end.
« Un bel autoportrait de femme dans le Londres punk des années 70 vu de l'intérieur, entre Clash et Sex Pistols. »
Thierry Coljon. Le Soir.
« Plus que le récit d'une épopée punk, Viv Albertine délivre le passionnant témoignage d'une femme anglaise toujours en lutte. »
Jean-Noël Levavasseur. Ouest France.
« Drôle, crue, sincère et obstinée : l'antithèse de mémoires dans le formol. »
Marguerite Baux. L’Officiel de la Couture et de la Mode de Paris.