« Un formidable roman écrit au féminin pluriel, abyssal, précis, cru et sensible, comme un coup de poing qui laisse un goût de caresse. Un must ! »
Pablo Servigne, Yggdrasil
« Alors que les personnages féminins sont souvent stéréotypés dans le genre, le roman brosse d'intéressants portraits de femmes. Avec sa vision proche de l'imaginaire des collapsologues, Après le monde plaira même à ceux qui ne sont pas des mordus de science-fiction. »
Lloyd Chéry, Le Point Pop
« Un conte magistral par temps d’effondrement […] Le grand mérite du roman de Rychner est de donner la parole au conte : ni prêches moraux, ni passions tristes, le récit projette sur les catastrophes un œil clinique qui invite à la réflexion. Et si c’était vrai ? Et s’il en était ainsi ? Et si nous étions beaucoup plus fragiles que nous le pensions ? Très rapidement, nous faisons nôtres les questionnements des narratrices et réalisons comment nous pourrions basculer d’un monde d’hyper communication et d’hyper mobilité à un monde en échanges clos et aux mouvements limités à la seule marche. »
Vincent Edin, Usbek & Rica
« Un vibrant plaidoyer pour la poésie et la littérature. »
La Tribune de Genève
« Alliage d’espoir et de terreur, à la fois visionnaire et glaçant, Après le monde semble écrit pour conjurer l'angoisse d’une époque hantée par sa fin en imaginant avec précision ce qui nous attend. Ou l'écriture comme manière de reprendre la main, comme antidote au sentiment d’impuissance. »
Anne Pitteloud, Le Courrier suisse
« Roman de l’effondrement et du renouveau, Après le monde est un texte percutant, à la fois sensible et violent, qui laisse plus que songeur : et nous, que ferions-nous si ça arrivait ? Incontournable ! »
Marianne Kmiecik, Librairie Les Lisières (Croix et Villeneuve d’Asq), Page des Libraires