« Porté par une langue aussi précise que poétique, À la surface de l’été fascine longtemps le lecteur qui l’a refermé. »
« Familière des labyrinthes intimes et des masques tombés, fine observatrice des illusions retrouvées, Laurence Werner David poursuit, dans ce quatrième roman, l'exploration de nos vies ébréchées, au moment précis de leur imperfection ou de leur perte. »
« S’il y a une chose qu’on ne peut retirer à Laurence Werner David, c’est le rythme et le soin délicieux de sa phrase. Dans un mouvement animal et presque suspendu, elle se déroule et s’enroule, comme à l’infini. »